Copaca’Bagneux – « À vos mots, prêts, partez ! » par Michel Crenon

Cet été sera sportif ! Des Jeux Olympiques aux jeux d’écriture… il n’y a qu’un pas ! Ou plutôt une animation d’A Mots croisés, mercredi 24 juillet 2024 au parc du Puits Saint-Etienne. L’occasion pour Michel de revenir sur son passé de cycliste.

Nous vous souhaitons bonne lecture de son témoignage plein de passion et de nostalgie !

Le vélo 

Depuis quelques années, le vélo, appelé aussi la bicyclette, mais aussi la randonneuse, s’est beaucoup démocratisé. 

Il y a même été ajouté un moteur. On se croirait revenu au vélo solex. On le trouve pour tout faire. Vélos utilitaires, vélos d’enfants, vélos d’appartement, le triporteur, le VTT, le vélo de cirque, mais aussi le vélo des loisirs. Parmi ceux-ci, vélos promenades, vélos camping, parfois vélos de course, vélos cyclo-nicto, vélos cyclo-photographe jusqu’au vélo-boulot-dodo, mais aussi le vélo de randonnée, l’équivalent du piéton randonneur. 

La randonneuse est avant tout une belle bicyclette, en général construite sur mesure, adaptée morphologiquement à l’utilisateur, comme pour le vélo de compétition, mais beaucoup plus complète. Au choix, garde-boue, éclairage, porte-bagages, surbaissé pour les cyclocampeurs, compteurs kilométriques, rétroviseurs, béquilles, etc. 

Bref, être libre comme on veut, où l’on veut, quand on veut, tout seul ou en groupe, de quelques personnes, mais aussi jusqu’à 200 personnes, voire plus. La Fédération française de cyclo-tourisme organise, entre autres, la semaine fédérale de cyclo-tourisme tous les ans, dans un lieu toujours différent, avec des parcours en étoile autour d’une ville. Un club de cyclo-tourisme organise pendant 15 jours un voyage itinérant avec tente ou couchage à l’hôtel. Un autre club organise le Tour de France. 

Il existe aussi des brevets de longue distance, comme 200 kilomètres, 300, 400, 600, Paris-Grenoble, Paris-Nice, 1000 kilomètres, Paris-Brest-Paris, 1.200 kilomètres, tout cela pour obtenir une médaille d’or, mais pas en or, et que parfois, même souvent, on paye. 

En conclusion, 60 ans plus tard, qu’en reste-t-il ? Beaucoup de nostalgie que je ressens.