« Cheminée »

Et, si on attendait Noël ensemble ? Cette année, nous vous offrons « Un jour, un mot », un calendrier de l’Avent très particulier.

On vous explique. Chaque jour, nous vous offrons une petite parenthèse d’écriture, un mot en lien avec Noël avec des propositions d’écriture, mais aussi des moments de lecture avec quelques extraits de récits de nos écrivants, quelquefois des bonnes adresses, des surprises inédites, mais pas que !

Pourquoi relever ces petits défis ? Pour éveiller votre envie d’écrire, relancer votre imaginaire, partager vos émotions, nourrir votre énergie, sans oublier… vous et nous faire plaisir ! C’est simple et facile, vous laissez en commentaire, une phrase ou deux (ou plus, tout une histoire) en lien avec le mot du jour. Si votre imagination est débordante, vous pouvez nous envoyer votre récit ou vos récits plus longs. Et, si votre (vos) récit(s) nous emportent, si… si… l’un d’entre vous (ou deux ou trois) recevra (recevront) une carte-cadeau pour un atelier d’écriture, le samedi après-midi, début 2025 (valeur 15 €) !

Le mot du jour est « Cheminée ».

Selon la légende, la cheminée est la voie par laquelle le Père Noël passe afin de déposer les cadeaux au pied du sapin, dans la nuit du 24 décembre. Surprenez-nous avec l’un de vos souvenirs ou avec un récit imaginaire ! Par exemple, le Père Noël a pris quelques kilos et ne peut plus passer par la cheminée. Mais, il trouve la porte d’entrée fermée à clé… ou bien… Que raconter aux enfants quand ils habitent en appartement… sans cheminée ou dans les maisons des pays chauds … sans cheminée, non plus ?   

Vous pouvez tout autant raconter un souvenir, une veillée auprès d’un bon feu dans l’âtre. 

C’est à vous ! Trop hâte de vous lire !

5 commentaires sur “« Cheminée »

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  1. Nous sommes le 24 décembre et aujourd’hui à Tignes, il fait moins vingt degrés. Mes parents alimentent la cheminée régulièrement. La journée au chaud me semble longue car ils sont partis s’occuper du troupeau dans l’étable. 

    Enfin, le soir arrive et j’attends avec impatience le Père Noël. Tout à coup, une pensée me vient : comment le Père Noël peut-il déposer les cadeaux dans une cheminée où le feu est allumé ?

    Je fais part de mon inquiétude à mes parents qui me répondent que ça ne lui posera pas de problème. Avant d’aller se coucher, ils remettent des bûches dans la cheminée. 

    Papa et maman viennent m’embrasser dans mon lit. Je lutte pour ne pas dormir et j’attends qu’ils partent dans leur chambre. Quand tout semble calme, je me lève discrètement. Je me dirige vers la cuisine. Je remplis un grand seau d’eau que je jette dans la cheminée. Au moins, je suis sûr que le Père Noël passera.

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  2. Pour ma part, cheminée ne veut pas dire forcement Noël. En effet, pour moi cheminée, c’est les longues soirées au coin du feu quand nous n’avions pas encore la télévision. C’est tu as chaud devant et froid derrière quand tu fais griller tes pommes dans du papier aluminium; C’est les histoires que me racontait mon père, des Histoires! Mais ses histoires n’étaient alors que leur vie de tous les jours, pas du baratin d’aujourd’hui.

    A cette époque, on se parlait encore. le portable face à face n’existait pas. Comme quoi le portable est à prendre avec modération car il supprime les conversations intéressantes.

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  3. Chem, cheminée, vous savez c’est la chanson dans Mary Poppins, ce film qui m’a tant fait rêver enfant. Aujourd’hui, le mot cheminée me rappelle encore d’autres souvenirs d’enfance, ces dimanches au coin du feu, à lire tranquillement ou à jouer aux cartes. Cheminée égale ces moments de cocooning en famille où l’on terminait la journée avec des châtaignes grillées ou une tournée de gaufres! et si l’on sort de ces moments presque parfaits, la cheminée me rappelle aussi les jours suivant la tempête de décembre 1999, ces jours sans électricité ni chauffage où la cheminée a permis de réchauffer ces jours hors du temps.

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  4. Après avoir passé un après-midi dans les bois à ramasser le petit bois, pour les plus petits, et de grosses branches pour les plus grands, nous rentrons chez grand-mère avec nos paniers bien pleins. Nous entassons notre récolte dans le hangar, à l’abri des intempéries. Nous avons les joues rougies par le froid, la goutte au nez, les doigts gelés malgré nos gants mais nous avons les pieds au chaud grâce aux chaussettes en laine qu’elle nous a tricotés avec amour pour Noël. Nous sommes heureux de faire cela depuis plusieurs jours, nous lui constituons une bonne réserve. Dans quelques jours, nous allons reprendre l’école et nous ne pourrons plus venir la voir tous les jours. Nous retournons au chaud dans la maison, autour de la cheminée bien garnie. Sur la table, nous attend nos bols de chocolats chauds qu’elle vient de nous préparer. Nous nous installons autour de son fauteuil, devant la cheminée, nos bols en main, nos visages éclairés par la lumière du feu et tournés vers elle. Nous attendons impatiemment qu’elle nous conte une nouvelle histoire, histoire qu’elle invente jours après jours, pour sa petite tribu.

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  5. « Il ne passera jamais «

    « Bah tu crois? Quand même ! » « mais puisque je te le dis. Trop gros trop mou trop vieux » « tu y vas fort, fais attention il n’est pas sourd. S’il t’entend, ça va barder ! pas toujours commode le patron. » « n’empêche qu’il ne va pas passer patron ou pas. On parie ? » « ça marche. Je te parie notre ration de lichen »

    « top la Dasher! »

    « regarde bien !ça va coincer ! prépare toi à me regarder me régaler «

    « Oupss attends, ne va si vite en besogne. Passé. Il a réussi ! Tu as perdu

    Rodolphe «

    « pffff il a dû faire un régime exprès «

    Alors les rênes. On a cru que je n’allais pas y arriver. Sachez bien que le père Noël entre dans toutes les cheminées du monde. Tenez-le vous pour dit!! »

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